Le monde dispose de nombreux atouts parmi lesquels, une diversité végétale et minérale importante. Cette biodiversité des plantes et des minéraux bien utilisée restaure la santé des hommes et des animaux.
C’est d’ailleurs ce qu’avaient par un savoir séculaire toujours utilisé nos parents pour guérir des affections parfois inconnues de la médecine dite conventionnelle.
Longtemps relayé au second plan, Il est plus que temps aujourd’hui que nous réveillions cet héritage en vue de donner une nouvelle alternative de soins aussi bien aux populations qu’aux animaux.
Longtemps relayé au second plan, Il est plus que temps aujourd’hui que nous réveillions cet héritage en vue de donner une nouvelle alternative de soins aussi bien aux populations qu’aux animaux.
Il est créé une association apolitique et à but non lucratif dénommée Association pour la Recherche en Anthropologie de Médecine Traditionnelle en abrégé « ARAM » depuis 2011.
Cette association fonctionne selon les dispositions de la loi n° 90/053 du 19 décembre 1990 au Cameroun.
Sauvegarder le patrimoine culturel immatériel-Eduquer, sensibiliser et renforcer les capacités sur le patrimoine culturel immatériel et ou matériel-Apporter une alternative aux soins de santé à travers les plantes naturelles-apporter des soins de santé aux populations à travers la psychothérapie et la musicothérapie-protéger l’environnement-mettre en œuvre les activités sylvicoles sont entre autres son but ses différents objectifs.
Le déploiement depuis 2011 des mises en œuvre des objectifs de l’Association pour la Recherche en Anthropologie de Médecine Traditionnelle en abrégé ARAM, passe par un inventaire des modes de thérapies ancestrales africaines, leur analyse en vue de retenir celles qui sont pertinentes pour une éventuelle normalisation. La finalité étant de proposer une alternative aux soins de santé, complément de l’arsenal existant.
Le capital humain de l’organisation en majorité bénévole, se fixe des objectifs à atteindre tous les ans pour la plupart orientés vers la reconnaissance juridique de la Médecine Traditionnelle au Cameroun.
Tout porte à croire qu’à l’optimisme affiché et fondé des membres de l’ARAM, la médecine traditionnelle qui peine à décoller finira par se faire une place au soleil aussi bien en Afrique que dans le reste du monde.